Dans le bazar de Josy
« Prisme - BETTINA CALL, l’un des anciens projets de Romain Muller qui me hante ».
« Notre P'tit Local à nous toutes et tous ».
« Karjalan Sissit, groupe de black noise industrielle qui m'entête de par son extrême violence ».
« Warietta ! Avec mon partenaire de toujours Rodorama, je joue les claviers et la basse pour Marietta, artiste dont la musique et les nombreux projets m’ont toujours fasciné (une impression de fan accompli) ».
« La bague de ma femme ».
« Bibi de Charles Pennequin ».
« Une petite maison où le temps reste suspendu, sans aucun signal ni internet : le grand Rombach, dans les environs de Sainte-Croix-aux-Mines. Je suis obligé d’également citer la Quincaillerie, moulin de mes amis Alexis Forestier et Itto Mehdaoui (Venarey-les-Laumes, Bourgogne), maquis de la Compagnie les endimanchés avec qui j’adore travailler ».
« Le gratin de polpettes de mon ami Nono ».
« Alinéa, le nom de mon disque, m’est apparu comme une hallucination auditive, après que le concept du disque m’a semblé évident, un passage à la ligne ».
« Mon style musical se définit simplement : de la chanson alternative, fondée sur des plaisirs coupables finalement assumés, nourrie par ma pratique de la musique électronique, une revendication du droit à la candeur ».
« Je les porte très fort dans mon coeur, cette salle m’a toujours accueilli et soutenu. Sa singularité a toujours fait en sorte que je conserve le même plaisir à m’y rendre en tant que spectateur comme en tant qu’artiste ».
« Une bouteille de mirabelle avec mes ami·es et ma famille de Coco Machine, aux côtés d'Elsa Michaud et Arne Vinzon, chantant Lente dépression jusqu'au lever du jour ».